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– Triangle des Bermudes –
Zone de l’Océan Atlantique et théâtre d’un grand nombre de disparitions de navires et d’aéronefs. De nombreuses légendes existent à propos de cette zone.


The Bermuda Triangle Mystery
Nouvelles disparitions





« Le Triangle du Diable »... septique ou non face au mystère de cette zone, nous ne pouvons aujourd’hui ignorer le phénomène inquiétant que même les scientifiques peinent à expliquer. Car les nombreuses disparitions recenser entre 1800 jusqu’à nos jours laisse perplexe les plus grands spécialistes de notre siècle. Pour expliquer les mystérieuses disparitions, certains auteurs évoquent les extraterrestres, l'influence de l'Atlantide, une distorsion spatio-temporelle ou des champs magnétiques surnaturels. Quand aux chercheurs, les théories se succèdent entre perturbations climatiques, réactions physiques ou chimiques naturelles liées à l'environnement de ce secteur ou encore de défaillances humaines… Mais aucunes situations ne concordent entre elles, et le mystère reste entier.
Souvenez vous de cette escadrille de cinq chasseurs bombardiers le 5 décembre 1945 au large de la Floride, connu sous le nom de Vol 19, qui s’était littéralement volatilisé. La base de Fort Lauderdale reçut un appel du lieutenant une heure après leur décollage, leur annonçant qu’ils étaient perdus. Un hydravion, parti immédiatement à leur recherche, mais ne revint pas non plus. De quoi susciter les plus vives interrogations.





Et aujourd’hui, la sinistre Chronologie de disparition continue d’enfler. En effet, depuis deux jours, les autorités de Florides et de Porto Rico mobilisent toutes leurs unités, à la recherche du vol 742, et du navire de croisière Ocean Star. Ce que les deux ont en commun ? A très précisément 14h21, l’avion comme le navire n’à plus donner aucun signal, et les autorités compétentes ont été incapable de rétablir le contact. Et d’après les derniers signaux émis par leurs radars respectifs, ils se trouvaient en plein cœur de triangle. Inutile de vous dire qu’une fois de plus, personne n’est en mesure de nous donner la moindre explication et les familles des passagers semblent déjà faire leur deuil, comme si les Bermudes ne laissaient aucune chance à ceux qu’elle capture. L’enquête est au point mort, et les équipes de secours sont désorienté par la tragédie, certaines refusant de partir en battu dans cette zone incontestablement à risque. Après ce nouveau drame, il semble inévitable que le triangle des Bermudes devienne une zone infranchissable et balisée, et ce, pour la sécurité de tous.

La nature, notre monde à certainement de nombreux secrets à nous livré. Mais celui des Bermudes reste farouchement garder.

Lieu inconnu
11 décembre 1945






«J’écris une date, j’écris tout simplement, alors que je n’ignore pas l’inutilité de mes mots. Voila quelques jours que je dépéris. Je ne suis pas seul, mais mon cœur à froid comme si j’étais dans la pire des solitudes. Alors j’écris, peut être pour oublier, ou bien au contraire, ouvrir les yeux et réagir face à ce qui nous arrives, à mes camarades et à moi. Je ne sais pas où nous sommes, ni si l’on viendra un jour nous sauver, mais l’idée de revenir chez moi, même si je ne peu le faire qu’en laissant cette pauvre ébauche de journal me trouble et me réconforte à la fois.
J’ignore ce qu’il nous est arrivée, et j’ai beau forcer ma mémoire, celle-ci refuse de me donner des derniers souvenirs que j’ai avant de me réveiller sur cette ile de malheur. Mais ce dont je suis certain, c’est qu’il n’y eu ni crash, ni atterrissage, pour la bonne et simple raison que nous nous sommes tous réveiller indemne au milieu d’une presque ile, que nous avons du très vite quitter car l’océan se refermait sur nous. Une simple bande de sable nous mena à l’ile, que nous ne pouvons quitter maintenant, et la presqu’il en question ne réapparait pas, et c’est encore l’un des aspects de cet endroit qui me terrifie.
Ici, rien ne semble vrai. Où du moins, l’endroit reste surréaliste. Le spectacle que nous offre cette immense Ile nous effraye, mais certain de mes camarades sont déjà partie à la découverte de celle-ci, à la recherche de vivre. Ils sont certainement bien plus forts que moi, qui suis la honte de l’escadrille. Mais je suis paralysé à l’idée de quitter le campement. D’après ce que certains on dit, en grimpant courageusement sur les plus hauts rocher qui surplombait la forêt vierge, un grand désert s’étant au centre de l’ile, et je n’ai jamais eu connaissance d’une telle géographie !





En plus des étranges circonstances qui nous ont menés jusque là, et l’incroyable nature qui nous entoure, l’ile semble complètement déserte. Mais beaucoup d’élément étrange on frapper mes camarades. Ce matin même un morceau de bois à été découvert, ficelé avec ce qui ressemblait à un morceau de chair. Il ne m’en faut pas plus pour me dire que, finalement, nous ne sommes pas seul ici. J’ai la constante impression que des yeux m’épis, que des mouvements me frôle. Et tous les bruits étranges, provenant de la forêt, je suis absolument certain que de simples animaux n’en sont pas à l’origine. Quand à la nuit, lorsque je ne dors pas, je jurerais entendre des murmures, comme des psaumes presque inaudibles, mais qui me glace le sang !





J’aimerais quitter cette ile au plus vite, retrouver mon foyer, et oublier l’horreur froide que me procure cet environnement.
J’espère que l’on viendra nous chercher, très vite… autrement, je ne donne pas cher de notre peau… »